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Ce volet couvre 75 % des coûts admissibles, jusqu’à concurrence des montants maximaux établis :
Les bâtiments pour lesquels des travaux admissibles ont été réalisés avant qu’une autorisation de la SHQ ait été obtenue ne sont pas admissibles, sauf s’il s’agit de travaux de remise en état du sous-sol. Ces derniers doivent avoir été faits entre le 1er janvier 2010 et le 11 août 2011 (date d’entrée en vigueur de ce volet du programme) sur un bâtiment admissible pour lequel des travaux correctifs couverts par le Plan de garantie des bâtiments résidentiels neufs ont été exécutés durant cette période.
Tout propriétaire d’un bâtiment résidentiel qui satisfait aux critères d’admissibilité de ce volet.
Un bâtiment résidentiel composé d’une ou de plusieurs unités, ou la partie résidentielle d’un autre type de bâtiment qui satisfait aux conditions suivantes :
Pour être admissible, le bâtiment peut être occupé par son propriétaire ou être loué à des fins résidentielles. Il peut aussi être vacant au moment de la demande d’aide; dans ce cas, il doit être destiné à servir de résidence principale à une personne physique.
Non, ce volet couvre uniquement les bâtiments résidentiels ou la partie résidentielle des bâtiments à vocation mixte qui servent de résidences principales.
Les travaux admissibles sont ceux qui sont destinés à :
Les coûts admissibles comprennent :
La gestion de ce volet a été confiée aux villes et aux municipalités régionales de comté (MRC) ayant conclu une entente de gestion avec la Société d'habitation du Québec. C’est donc à elles que les propriétaires doivent s’adresser, selon le territoire où est situé le bâtiment qui doit être réparé.
Consultez le répertoire des municipalités .
Le propriétaire doit remplir le formulaire Demande d’aide disponible à la municipalité et fournir tous les documents nécessaires à l’analyse de sa demande :
Le nombre d’inscriptions à ce volet et la disponibilité des entrepreneurs sont des facteurs qui pourraient avoir une incidence sur les délais de traitement des dossiers.
Les demandeurs doivent rembourser à la SHQ l’aide financière versée s’ils reçoivent un dédommagement à la suite de l’exercice de recours civils ou une indemnisation d’une compagnie d’assurance pour les travaux qui ont été subventionnés. Ainsi, l’aide financière est remboursable dans les seuls cas où les préjudices pour lesquels l’aide a été accordée font l’objet d’une indemnisation.
La majorité des cas se situe effectivement dans la ville de Trois-Rivières, mais outre celle-ci, deux autres villes et cinq MRC offrent actuellement ce volet du programme : la Ville de Shawinigan, la Ville de Bécancour, la MRC de Maskinongé, la MRC des Chenaux, la MRC de Nicolet-Yamaska, la MRC de Mékinac et la MRC d’Antoine-Labelle.
Actuellement, le nombre de cas connus de résidences aux prises avec un problème de pyrrhotite serait de 1 500. La majorité se trouve en Mauricie, notamment sur le territoire de la ville de Trois-Rivières.
Non, les travaux d’aménagement paysager ne sont pas admissibles à ce volet. L’objectif du programme est de répondre à des besoins urgents et essentiels afin d’assurer l’intégrité des bâtiments et la sécurité de leurs occupants.
Il s’agit d’une pratique courante et souhaitable permettant d'obtenir de meilleurs prix. En effet, une saine compétition auprès des entrepreneurs favorise l’obtention d’un juste prix.
Oui, toutefois ils doivent d’abord confirmer leur admissibilité à ce volet. Le montant lié aux matériaux et à la main-d’œuvre sera établi par un estimateur mandaté par la municipalité ou la MRC.
Une compensation, établie par un estimateur mandaté par la municipalité, sera versée au propriétaire-occupant qui fera lui-même les travaux. Cette compensation est non imposable.
La Société d’habitation du Québec se réserve le droit de dresser une telle liste, comme elle le fait dans d’autres programmes.
La Chaire de recherche en partenariat CNRC-RBQ et ses partenaires, impact de la pyrrhotite sur la durabilité des structures de béton au Canada a été mis sur pied afin d’étudier la problématique et d’apporter des précisions aux normes actuelles, lesquelles pourront s’appliquer à l’ensemble du territoire québécois. La Société d’habitation du Québec participe financièrement à ce programme, qui est mené par le Centre de recherche sur les infrastructures en béton
et la Régie du bâtiment du Québec
, en collaboration avec l’ Université Laval
.
Certaines mesures concrètes ont été prises dans la région de Trois-Rivières, et dans toutes les villes et MRC qui offrent actuellement ce volet du programme, afin d’empêcher que cette situation ne se reproduise. La Régie du bâtiment, le Regroupement professionnel des producteurs de granulats, l’ Association béton Québec et les administrateurs du Plan de garantie des bâtiments résidentiels neufs
ont mis en place des mesures visant à hausser la fiabilité du processus de production du béton dans son ensemble.
Par exemple, les producteurs de granulats de la région de Trois-Rivières se sont engagés dans un processus de préqualification de leur carrière. Ainsi, les producteurs de béton auront à leur disposition un dossier sur l’historique des carrières et davantage de données pour connaître la qualité du granulat. Aussi, le Bureau de normalisation du Québec a proscrit l’utilisation du granulat provenant du gisement géologique problématique situé dans la région de Trois-Rivières. Cette mesure préventive s’appliquera jusqu’à ce que des travaux de recherche soient menés à bien sur les conditions et les mécanismes qui provoquent la réaction nuisible de la pyrrhotite.
Pour toutes autres questions concernant l’application de ce volet, veuillez vous adresser à votre municipalité ou municipalité régionale de comté.
Consultez le répertoire des municipalités .
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